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Thales grimpe à la deuxième place des entreprises qui font le plus rêver les étudiants ingénieurs

Après presque dix années consécutives à la troisième place du palmarès Universum des entreprises les plus attractives pour les étudiants ingénieurs en France, Thales se hisse pour la première fois sur la deuxième marche du podium. Clément de Villepin, Directeur général des Ressources humaines de Thales et Julien Marchalant, Global Account Director d’Universum, nous expliquent pourquoi cette montée d’une place au classement est un encouragement fort pour l’avenir. 

Plus qu’une deuxième place

Créée en 1988, la société suédoise Universum, spécialiste dans le domaine de la “marque employeur” s’est fait connaître par ses enquêtes internationales mesurant la notoriété et la désirabilité des entreprises auprès des étudiants et des jeunes employés. Ses études documentant les aspirations des futurs diplômés en termes de carrière et d’environnement professionnels, ainsi que les palmarès qui en découlent, se sont imposés comme une référence dans plus de 60 pays à travers le monde. « En France, le classement des employeurs préférés des étudiants, que nous publions chaque année depuis 1999, est ainsi devenu l’un des meilleurs baromètres pour évaluer la capacité d’une entreprise à attirer et à faire rêver les jeunes diplômés », se félicite Julien Marchalant, Global Account Director d’Universum. Le cru 2022, obtenu en interrogeant quelque 31 600 étudiants français (dont près de 15 000 futurs ingénieurs) issus de 170 écoles et universités différentes, a été dévoilé ce mercredi 18 mai. Avec une bonne surprise pour Thales : l’entreprise, classée à la troisième place depuis dix ans (exception faite de l’année 2018, où elle avait fini 4ème) monte d’une marche sur le podium, devenant ainsi la deuxième entreprise la plus prisée des élèves en ingénierie.

De futurs ingénieurs en informatique plus intéressés que jamais 

« Thales prévoit de recruter 11 000 personnes en 2022 dont près de 4 000 en France, et parmi eux une majorité de jeunes diplômés. Cette reconnaissance venue du monde des universités est une bonne nouvelle », a réagi Clément de Villepin.

L’entreprise grimpe également au classement chez les étudiants en école de commerce, dans le cœur desquels elle passe de la 28ème à la 23ème place. « Mais la hausse qui nous paraît la plus significative concerne la catégorie des futurs ingénieurs en informatique (développeurs, programmateurs, statisticiens, data scientists…), que nous mesurons de façon séparée, analyse Julien Marchalant. Sur ces profils que tout le monde s’arrache, Thales monte aussi d’une marche, passant du 5ème rang en 2021 au 4ème cette année. » Pour Clément de Villepin, cette attractivité s’explique d’abord par l’activité même du groupe qui offre des perspectives et des défis passionnants : « Les solutions que nous développons concernent des technologies de pointe, qui touchent à des domaines aussi variés que l’intelligence artificielle, la cybersécurité, les big data… Pour de jeunes ingénieurs, c’est une opportunité unique de développer leur potentiel, en se confrontant à des challenges très ambitieux, qui repoussent les limites de la technologie. » 

Des parcours variés, qui ont du sens 

Ce passage de la troisième à la deuxième place du palmarès Universum traduit, par ailleurs, plus qu’une simple augmentation du prestige de l’entreprise auprès des élèves ingénieurs. « Le taux de notoriété de Thales était déjà historiquement très élevé auprès de cette catégorie. 92% des étudiants ingénieurs interrogés, et la moitié des étudiants en ingénierie informatique, identifient cette année l’entreprise comme un employeur potentiel… soit exactement les mêmes scores que l’année dernière », développe Julien Marchalant. Pour monter d’une marche, le Groupe a pu mettre en avant les opportunités de trajectoire professionnelle uniques qu’offre une entreprise où l’on peut, au cours d’une même carrière, travailler sur des cockpits d’avion dans le Sud-Ouest, sur des systèmes anti-mines sous-marins à Brest puis sur des satellites de communication à Cannes par exemple. 

Il a aussi réussi à montrer qu’il était possible d’y faire coïncider ses aspirations profondes et ses valeurs avec son projet professionnel. « Entrer chez Thales, c’est dans l'esprit de beaucoup d’étudiants la possibilité d'œuvrer dans des domaines ayant un impact sociétal fort. Certains sont attirés par le fait de contribuer à défendre la souveraineté française et européenne, à rendre le monde plus sûr. D’autres viennent pour inventer grâce aux technologies, des solutions pour préserver l’environnement ou contribuer à désenclaver des populations coupées de systèmes de communication modernes par exemple » explique Clément de Villepin.

Entretenir le dialogue entreprise / écoles

Mais ce bon résultat est aussi le signe que l’entreprise a su se rapprocher des étudiants et s’en faire mieux connaître. « En décrochant la seconde place à notre classement, Thales a montré non seulement sa capacité à se rendre visible auprès des étudiants, mais surtout à se montrer plus attractif que d’autres entreprises du même secteur », décrypte Julien Marchalant. C’est le signe d’un dialogue fructueux avec le monde des écoles et des universités, et du bon travail de ses ambassadeurs auprès des futurs diplômés. »  Les interactions sur les réseaux sociaux, les forums de recrutement, les conférences à destination des étudiants, et le réseau des Campus Managers, ces anciens élèves devenus thalésiens qui transmettent leur expérience et leur vécu auprès des étudiants, auraient ainsi un rôle décisif pour faire mieux connaître et donner envie de rejoindre l’entreprise, selon l’expert. « Thales est deuxième au classement général cette année, mais nous observons qu’il s’agit aussi de l’entreprise où les étudiants ingénieurs ont le plus envie de candidater. Et la marche entre la première et la deuxième place me paraît bien moins élevée qu’entre la troisième et la deuxième. »

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