"Immersive Space Journey", embarquez à bord d’un voyage au cœur de l'espace !
Un observatoire gigantesque en plein désert !
Le voyage commence sur Terre, à 5000 mètres d’altitude, dans le désert d’Atacama, au Chili. Sur le plateau de Chajnantor, on y trouve le plus grand radiotélescope jamais réalisé dans le monde : ALMA. Constitué de 66 antennes paraboliques géantes, cet observatoire titanesque a été réalisé dans le cadre d’une coopération internationale entre l’Europe, les Etats-Unis et le Japon... La réalisation des 25 antennes paraboliques européennes avait été confiée à Thales Alenia Space. L’objectif d’ALMA ? Observer l’Univers dit « froid », le gaz moléculaire, fournir aux scientifiques et astronomes des images d’étoiles, de planètes en formation, détecter des galaxies naissantes telles qu’elles pouvaient exister il y a plus de 10 milliards d’années… + d’info : Cliquez ici
Etre connectés en toutes circonstances :
Is it a bird? A plane? A drone? No, it’s StratobusTM!
Nous sommes à présent à 20 kilomètres d’altitude, au-dessus des jet-streams et du trafic aérien. Dans quelques années, c’est justement depuis la stratosphère que volera le fameux StratobusTM, plateforme stratosphérique autonome multi-missions, à mi-chemin entre un drone et un satellite. Parfait complément du satellite, en rupture technologique par rapport aux systèmes existants [sa mise en opération ne requiert pas de lanceur], StratobusTM sera en mesure de répondre aux besoins des organes de sécurité et de défense en proposant par exemple une solution de surveillance permanente sur une zone de couverture régionale définie. + d’info Cliquez ici
“Ground Control to Major Tom”
“Eye in the Sky”
Connecting people
780 kilomètres : Courant 2018, la constellation Iridium® NEXT devrait être complètement opérationnelle à cette altitude. Réalisée sous maîtrise d’œuvre Thales Alenia Space pour le compte d’Iridium, la constellation comptera 66 satellites opérationnels en orbite, ainsi que 15 satellites de rechange (orbite et sol confondus). Iridium® NEXT est l’un des programmes spatiaux les plus complexes et ambitieux qu’il ait été donné de concevoir. Il vise à connecter des milliers d’utilisateurs à travers le monde, via un maillage ingénieux, reliant entre eux des dizaines de satellites de télécommunications répartis autour du Globe.
Réduire la Fracture Numérique :
En 2017, la fracture numérique demeure plus que jamais une problématique de société. Plus de 4 milliards d’habitants ne sont pas ou peu connectés à Internet à ce jour. Sur les 42 pays les moins connectés [cela représente 2,5 milliards d’humains !], l’accessibilité à Internet par des moyens traditionnels terrestres demeure très difficile. Les satellites de télécommunications à Très Haut Débit [Very High Throughput Satellite], dont Thales Alenia Space est l’un des fers de lance incontestés, représentent une alternative significative pour réduire la fracture numérique dans le monde. L’atout de la solution satellitaire repose sur sa capacité à fournir un accès internet sur l’intégralité d’un territoire dit « couvert », indépendamment de la qualité des infrastructures terrestres et ce, à un coût de connexion au réseau équivalent pour tous.
500 millions de kilomètres : Mars et au-delà
500 millions de kilomètres, 7 mois : c’est la distance et le temps qu’il aura fallu au module orbital d’ExoMars pour atteindre avec succès l’atmosphère de Mars en octobre 2016. Son rôle consiste à « renifler » l’atmosphère martienne pour y trouver des traces de gaz, du méthane en particulier. Au terme de la seconde mission d’ExoMars, en 2020, une plateforme d’atterrissage russe ainsi qu’un rover européen se poseront sur la surface de la Planète Rouge. Ce dernier prélèvera des échantillons du sol martien, analysés ensuite par l’entremise d’un laboratoire scientifique logé à l’intérieur du rover. Les données seront transmises via le module orbital qui servira de relai de communications vers la Terre à la fois pour les rovers de la NASA et le futur rover de l’ESA. Mené conjointement par l’ESA et Roscosmos, le programme ExoMars, sous maîtrise d’œuvre Thales Alenia Space, vise à déterminer s’il y a eu des traces de vies antérieures sur Mars ; une question existentielle qu’a sans doute dû se poser David Bowie dans sa chanson « Life on Mars », parue en 1971 sur son album Hunky Dory.
Vénus, Mars, Mercure, Titan, astéroïdes et comètes… Thales Alenia Space a toujours été un partenaire incontournable des plus fantastiques missions européennes à travers le Système Solaire.
Sur Terre, en avion, dans la stratosphère, à l’intérieur de la Station Spatiale Internationale, en orbite, à travers le système solaire… Thales Alenia Space a la conviction que l’Espace, sous toutes ses formes, apporte une nouvelle dimension à l’humanité pour bâtir une vie meilleure et durable sur Terre !
Video and artistic views: ©Thales Alenia Space/Master Image Programmes