Le Canada sélectionne Thales pour fournir un soutien en service pour les navires de guerre mineurs de la Marine royale canadienne et navires auxiliaires
- La flotte de petits navires de guerre et de navires auxiliaires de la Marine royale canadienne (MRC) comprend environ 100 navires de 24 classes différentes, dont les navires de défense côtière de la classe Kingston, les navires d’entraînement de la classe Orca, les remorqueurs, les bateaux de plongée, les navires de recherche, les navires de sécurité et les navires de soutien auxiliaires.
- Le groupe s’appuiera sur son expérience la plus récente en matière de soutien aux navires de patrouille extracôtier et de l’Arctique, ainsi que sur son vaste réseau de partenaires et de fournisseurs canadiens.
- Ce contrat de 450 millions de dollars canadiens (environ 305 millions d’euros) renforcera le rôle de Thales en tant que partenaire essentiel du Canada dans le cadre de la stratégie nationale de construction navale, en s’appuyant sur près de 60 ans de soutien en service (SES) canadien.
Comme l’a stipulé le Premier ministre canadien, le très honorable Justin Trudeau, lors du sommet de l’OTAN en Lettonie, Thales annonce aujourd’hui que le gouvernement du Canada a attribué à Thales Canada et Thales Australia, en coentreprise, un contrat SES pour les petits navires de guerre et navires auxiliaires.
Ce contrat permettra de s’assurer que la flotte reste opérationnelle et offre la possibilité d’augmenter ou de réduire le nombre de navires entretenus pour répondre aux besoins opérationnels en constante évolution de la MRC, y compris l’opération REASSURANCE, la plus grande mission du Canada à l’étranger pour l’assurance et la dissuasion de l’OTAN en Europe centrale et de l’Est. Le contrat prévoit une période de service initiale de cinq ans pour un montant maximum de 450 millions de dollars canadiens (environ 305 millions d’euros), avec des options supplémentaires d’un an pour prolonger les services pendant dix-neuf ans au total.
Thales livre également le SES des navires de patrouille extracôtier et de l’Arctique (NPEA) et des navires de soutien interarmées (NSI) du Canada, connus sous le nom d’AJISS. Thales devient ainsi le premier fournisseur de SES de la MRC, chargé de garantir l’aptitude aux missions et la disponibilité de 26 classes et plus de 100 navires.
Thales s’est engagé au Canada et à donner à l’industrie canadienne les moyens de soutenir le SES navale pour les décennies à venir. Ce contrat s’appuie sur la forte expertise de Thales en matière de technologies numériques, telles que l’IA, les données massives, la connectivité et la cybersécurité, pour mettre à jour et optimiser la flotte. Avec AJISS, l’ajout des petits navires de guerre et de navires auxiliaires au portefeuille de Thales permettra de développer les compétences et de créer des milliers d’emplois chez des centaines de fournisseurs canadiens de toutes tailles.
Afin de créer un secteur national durable de SES qui favorise la continuité des capacités, Thales collabore avec des entreprises et des communautés autochtones comme la Nation Malahat, des jeunes entreprises, des universités, des supergroupes d’innovation canadiens et des petites et moyennes entreprises dans le cadre de programmes tels que AI@Centech, SYNERGY, Défis d’innovation en technologie navale et son nouveau Centre national d’excellence numérique.
« Thales s'engage à servir ceux qui servent et à jouer un rôle essentiel dans la réalisation de la stratégie nationale de construction navale. Nous sommes déterminés à tirer parti du savoir-faire que nous avons apporté au Canada depuis l’Australie et de l’expérience que nous avons acquise dans le cadre de l’AJISS. Nous nous réjouissons de pouvoir collaborer encore davantage avec les écosystèmes d’innovation diversifiés et riches en talents du Canada afin de créer des capacités, de transformer le soutien naval en service et d’offrir valeur et excellence à la MRC », Chris Pogue, PDG de Thales Canada.
